L’activité sismo-volcanique du supervolcan des Champs Phlégréens et de son voisin le Vésuve, entourant la métropole de Naples et ses trois millions d’habitants, serait en partie contrôlée par la marée à 18,6 ans et les forces centrifuges variables liées à la rotation terrestre. C’est ce que révèle une étude commune au SYRTE et à l’Université Sapienza de Rome où l’on a analysé les séismes enregistrés ces dernières décennies sous les deux complexes volcaniques ainsi que l’activité bradysismique (soulèvement/affaissement du sol) au-dessus de la caldera de Pouzzoles depuis un siècle. Un indicateur à affiner surtout dans le scénario sous-jacent et qui pourrait avoir son importance dans l’évaluation du risque et la protection des populations.
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Volcanisme napolitain : une histoire de marée ?
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Nouveaux regards sur le cœur des AGN grâce au VLBI et à Gaia
L’astrométrie de très haute précision au sol ou dans l’espace, en radio ou en optique, révèle un peu plus la machinerie des AGN.
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Astrométrie multifréquence : la chasse aux sources dissidentes
L’astrométrie VLBI et Gaia ouvre sur un océan de questions concernant les sources s’échappant de la statistique...
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Un nouveau repère céleste pour 2019
Le 31 décembre 2018 à minuit, nous n’avancerons pas nos montres d’une seconde (à moins que l’IERS ne nous y oblige d’ici-là…) mais nous bougerons légèrement les axes de notre repère céleste fondamental. L’Union Astronomique Internationale (UAI), réunie à Vienne la seconde quinzaine d’août 2018, a en effet voté en assemblée générale une résolution adoptant l’ICRF3 comme repère fondamental à la place de l’ICRF2, résolution prenant effet le 1er janvier 2019. Qu’est-ce dont que l’ICRF3 ? En quoi est-il mieux que (...)
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LQAC : version 4, 400000+ objets
La nouvelle version du LQAC contient plus de 400000 objets, dont 250000 en commun avec la DR1 de Gaia.
La description complète du catalogue est publiée dans Gattano et al. (2018). -
Campagne de mesure du seeing de Saint-Véran
Une campagne de mesure du seeing menée par François Taris depuis l’observatoire du Pic de Châteaurenard (3000m) a débuté en octobre 2014. Ces mesures visent à (re-)qualifier le site en vue de l’implantation d’un télescope robotique. Cet instrument sera dédié au monitoring optique des quasars et au suivi d’astéroïdes dans le cadre du raccordement des systèmes de référence.